« Art animalier » en Berry – 4 artistes exposent tout l’été au Musée Saint-Vic

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MUSÉE Saint-Vic EXPOSITION « ART ANIMALIER » du 1er juillet au 23 septembre 2018

« Art animalier » en Berry, 4 artistes exposent tout au long de l’été au Musée Saint-Vic à Saint-Amand-Montrond

Ours et corbeaux encre et aquarelle coll. part. copyright Yseult Carré
Ours et corbeaux encre et aquarelle coll. part. copyright Yseult Carré
SOMMAIRE
I - Yseult CARRÉ
II - Christian HIRLAY
III - Florence LEMICHEZ
IV - Charlotte POULSEN
V - Présentation du Musée
VI - Informations pratiques

 

L’article reprend les informations du catalogue d’exposition – texte et choix des visuels – réalisé par le Département Arts et Patrimoine – Musée Saint-Vic – Ville de Saint-Amand-Montrond
Catalogue papier à se procurer sur place – 6 € 

I – EXPOSITION ANIMALIÈRE – ÉTÉ 2018 YSEULT CARRÉ

Yseult Carré et Vaïka des Crocs de La Molière, barzoï - crédit photo GuY Gobillon Arcadines
Yseult Carré et Vaïka des Crocs de La Molière, barzoï – crédit photo GuY Gobillon Arcadines

Yseult Carré est une voyageuse. Enfant, son quotidien est parisien, et c’est au cours de périples répétés à l’occasion des vacances estivales qu’elle découvre la nature peuplant les plateaux des Causses du Quercy. Après des études d’histoire de l’art à l’École du Louvre et alors qu’elle est déjà dotée d’un talent très sûr, Yseult Carré franchit le pas et décide de faire de la peinture son métier. Enthousiasmée par les toiles animalières d’Oudry et de Géricault, elle n’hésite pas à croquer ses sujets dans les muséums d’histoire naturelle ou sur le vif, à observer les animaux dans leur biotope.

Cerf au brame Sologne Bleus copyright Yseult Carré
Cerf au brame Sologne Bleus copyright Yseult Carré

Le travail d’Yseult Carré est reconnu dès 1998, lorsqu’elle obtient le 1er Prix du Salon de l’ABC de Neuilly-sur-Seine. Cette même année, elle est également présente au 2e Salon du Grand Gibier de Paris. Elle expose de manière permanente à la Galerie Holland & Holland (Paris) et à la Galerie Daniel Besseiche (Val d’Isère) jusqu’en 2007 ; entre-temps, elle reçoit le 2ème Prix au 9ème Festival International de l’Art Animalier de Sully-sur-Loire.

Harfang des neiges Bleu - d'après photo de Hellio van Ingen copyright Yseult Carré
Harfang des neiges Bleu – d’après photo de Hellio van Ingen copyright Yseult Carré

Animée par le souci de l’authenticité, Yseult Carré traverse à plusieurs reprises l’océan Atlantique pour se rendre au Pérou, à la recherche des rapaces de la cordillère andine, puis au Canada, où elle traque l’orignal, le loup et le cerf. Armée d’un carnet de croquis et d’un appareil photographique, Yseult Carré accompagne alors des Amérindiens et des chasseurs à travers les étendues giboyeuses canadiennes. Elle y apprend le repérage des traces, elle y apprend l’attente des longues soirées de veille, elle y apprend jusqu’aux conséquences parfois funestes de la chasse.

Cette ambition d’aller à la rencontre de la vérité animale se traduit dans son art par un réalisme qui parfois passe par l’abstention du détail, par l’abandon de la précision photographique. Plus que le rendu de la texture de la plume ou du poil, Yseult Carré cherche l’expressivité de l’animal ou la courbure de son corps en mouvement. Cette recherche formelle se traduit dans la composition de ses œuvres par une préférence pour la sobriété des études et des esquisses, dans lesquelles l’inachevé autorise une focalisation sur l’exactitude de l’émotion.

Si l’aquarelle demeure la technique de prédilection d’Yseult Carré, elle emploie également très volontiers le pastel, la peinture a tempera, procédé plusieurs fois séculaire à base d’une émulsion dont le liant est la lécithine du jaune d’œuf, et la gravure. Fabriquant son aquarelle, elle utilise pour cela des pigments naturels, de la gomme arabique et du miel de Sologne car, dit-elle, « la beauté des couleurs répond à la pureté des ingrédients ».

Chien courant Grand Anglo-Français Sologne Cheverny copyright Yseult Carré
Chien courant Grand Anglo-Français Sologne Cheverny copyright Yseult Carré

Ces dernières années ont été riches en expositions d’Yseult Carré, que ce soit en Berry ou en Sologne. Ainsi, elle a exposé à Nançay en 2017 et 2018, elle a participé en 2016 à la Balade des Arts de Pierrefitte-sur-Sauldre et au Lions Art Sologne de Salbris. Son travail a par ailleurs été montré au Noël de l’Art Animalier d’Aubigny-sur-Nère en 2017, de même qu’au Printemps de l’Art Animalier de Beaumont-Sardolles en 2018.

 

II – EXPOSITION ANIMALIÈRE – ÉTÉ 2018
CHRISTIAN HIRLAY

Christian Hirlay est un faiseur de vie, un thaumaturge capable d’animer la matière la plus froide. Depuis deux décennies, le sculpteur berrichon, né dans l’Indre en 1966, s’emploie à réaliser des œuvres qui donnent à voir la faune qui peuple nos campagnes et nos bois. Diplômé de l’Institut d’Arts Visuels d’Orléans en 1994, il participe à de nombreux projets pour la presse et la communication où ses illustrations sont vivement remarquées. Mais c’est le métal qui deviendra le matériau d’expression privilégié de sa quête esthétique. Christian Hirlay utilise en effet le métal comme d’autres la pointe d’une mine de plomb. Il trace des lignes en fils de fer, qu’il assemble patiemment, par soudure, pour donner corps aux muscles et aux articulations des animaux. Par ses sculptures à l’échelle grandeur nature, il invoque une ménagerie de toute taille composée de lièvres, de hérissons, d’oiseaux, de renards, de poulains, de chevaux, de cerfs, voire même de licornes.

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Les œuvres de Christian Hirlay sont remarquées dès le début du siècle, quand il expose en 2000 au Musée vivant du Cheval de Chantilly et au Musée Hermès, à Paris, où quatre de ses sculptures sont achetées. Très lié au milieu de l’équitation, Christian Hirlay est invité par la galeriste Bénédicte Giniaux à montrer son travail au Théâtre Equestre Zingaro en 2005 ; il expose également quatre sculptures de chevaux au village d’honneur de Longchamp, à l’occasion du Prix de l’Arc de Triomphe Lucien Barrière. Cette même année, il marque de sa présence la 18e Expo Etalon qui se tient à l’Hippodrome de Vincennes, tandis qu’il expose aux  Haras Nationaux de Tarbes et de Saint-Lô. Deux ans plus tard, l’institution normande lui commandera un cheval grandeur nature en fil de fer, acquis par les Archives Départementales de la Manche. En 2009, Christian Hirlay participe au Salon d’automne de Saumur et, l’année suivante, il crée la sculpture d’un cheval à l’occasion du Gala des courses de Deauville. En 2014, il est récompensé du Prix Jérôme Guerrand Hermès Art Cheval ; en 2015, il expose à la Biennale de Sologne« Lorsqu’un fragment prend place avec une justesse surprenante dans la construction de la sculpture, il me semble que ce travail prend tout son sens. Une sorte de défi consiste à représenter le vivant de manière légère et fluide grâce au métal, ce matériau froid »

III – EXPOSITION ANIMALIÈRE – ÉTÉ 2018 FLORENCE LEMICHEZ

Florence Lemichez, c’est tout d’abord la passion de la nature et des animaux. Née à Suresnes, elle a grandi à Paris et sa banlieue mais enfant déjà, elle se sentait à l’étroit entre les murs de la grande cité. Fort heureusement, étant issue d’une famille originaire du Bourbonnais, elle eut l’occasion à maintes reprises d’arpenter la campagne et, quand elle ne le pouvait pas, la pratique du dessin animalier, et en particulier équestre, lui permettait d’ouvrir une fenêtre par où s’échapper vers ces écrins de nature qu’elle aime tant. Très tôt dans la vie de Florence Lemichez, la pratique artistique et le goût de la nature se sont en effet mêlés au terme d’une réaction alchimique, pour ne plus former qu’un ensemble indissociable qui allait orienter toute son existence.

Diplômée de l’Ecole nationale supérieure d’art (ENSA) de Bourges, le succès de sa première exposition personnelle, montée à Paris en 1993 alors qu’elle n’a que vingt ans, conforte Florence Lemichez dans son choix d’explorer plus avant son cheminement artistique, en même temps que de venir s’installer à la campagne à proximité de Montluçon. Les expositions tant personnelles que collectives de Florence Lemichez vont alors se multiplier, que ce soit dans l’Allier et les départements limitrophes ou à Paris, comme en 2001 à la Maison de l’Auvergne, ou en 2003 à la Grande Loge de France.

Autant de lieux et autant de publics auxquels Florence Lemichez peut montrer l’étendue de son art, car elle est une artiste résolument pluridisciplinaire. Elle pratique en effet la peinture et le dessin bien sûr, mais aussi la sculpture et, en 2005, la barbotine, comme artiste invitée de la Faïencerie de Gien. Cette dernière production lui ouvre d’ailleurs les portes du Sultanat d’Oman, qui lui achète plusieurs pièces et lui renouvelle sa confiance en 2008 par l’acquisition de tableaux. L’oeuvre de Florence Lemichez, empreinte d’une grande tendresse pour ses modèles en même temps que d’une observation attentive des animaux dans leur intimité, n’avait pas attendu cette date pour franchir nos frontières. Dès 2003, à l’occasion du Symposium de Sculpture de Wadersloh (Allemagne), elle réalise deux grandes oies en plâtre au profit de la ville. Elle expose aussi de manière régulière à Mykonos (Grèce), ainsi qu’en Andorre. En 2010, avant de traverser l’Atlantique pour participer à une Exposition internationale à New-York, elle s’arrête à Londres pour exposer au Salon d’Art Contemporain London Art au Waldorf Palace.

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Médaillée du Conseil Général de l’Allier en 2006, Florence Lemichez n’en continue pas moins de montrer sa production artistique à travers toute la France, en Berry et Bourbonnais bien sûr, mais aussi à Metz cette même année, au Centre des Affaires Aéroport de Nice en 2009, à Chartres l’année suivante à l’occasion d’une exposition personnelle, à Barbizon au musée Jean-François Millet en 2011, ou à la Pyramide de l’Or à Saint-Amand-Montrond en 2013.

Florence Lemichez, qui a l’habitude de dire qu’elle « ne pein[t] que les natures vivantes », s’attache beaucoup à la symbolique sous-jacente à ces animaux, comme l’oie sonnant l’alerte d’un danger ou le canard figurant la félicité conjugale en Extrême-Orient. Dans son travail, où l’homme semble de prime abord exclu, Florence Lemichez réinvestit l’humanité par la mise en mouvement et l’expressivité de ses sujets, par lesquelles elle démontre la porosité de la frontière séparant l’être humain de l’animal. Est-ce ce symbolisme qui plaît tant au public chinois ? Toujours est-il qu’à partir de 2013, Florence Lemichez expose régulièrement en Chine, que ce soit au Guozhong Museum en 2013 et 2014 ou au Salon International de Pékin.

« Je ne recherche pas la représentation de la réalité. Ma peinture est […]  une page d’Ecriture à lire et à ressentir. L’animal est un véhicule passionnant pour tout ce qui concerne les grandes passions humaines. Je ne peins pas, je dépeins. » 

IV – EXPOSITION ANIMALIÈRE – ÉTÉ 2018 CHARLOTTE POULSEN

Le parcours de Charlotte Poulsen est une histoire jalonnée de rencontres : avec un art, celui de la céramique ; avec un lieu, le village de La Borne ; avec des artistes comme Jean Linard. Charlotte Poulsen, de nationalité danoise, est née dans le Jutland  en 1950 et elle a grandi dans ce pays où le ciel est immense et la mer toujours présente, quelquefois calme et apaisée, parfois tourmentée et violente. Sa découverte de la terre comme matériau artistique, elle le doit à sa rencontre avec les potiers Birgit et Rocca Knüpfer, chez qui elle séjournera durant dix mois à Djursland, au Danemark. En 1969, admise à la Kunst-Akademi (Ecole des Beaux-Arts) d’Aarhus, elle étudie l’art de la céramique, elle apprend à employer le tour de potier, à modeler de ses mains, à appliquer l’engobe. Une fois diplômée, elle retournera dans son école entre 1978 et 1980, mais cette fois-ci comme enseignante. 

Charlotte Poulsen avait découvert le matériau de sa vocation, il lui manquait le lieu. Elle se rend une première fois dans le village de La Borne (Cher), en 1972, au centre de la France, dans ce haut lieu où, depuis 1945, s’élabore la révolution de l’art céramique. Là, elle côtoie des artistes majeurs, Pierre Mestre, Gwyn Hanssen Piggot et Anne Kjaersgaard. A partir de 1981, Charlotte Poulsen s’établit définitivement à la Borne d’en Haut. Durant vingt ans, elle se consacre à une production essentiellement utilitaire et inspirée du design scandinave, aux lignes épurées et sobres. Puis, un jour, sa poterie prend forme animale, comme sa théièrezèbre, avant qu’au début des années 2000, Charlotte Poulsen s’engage dans une voie résolument artistique en créant un bestiaire inspiré de la faune africaine. Ces animaux, -zèbres, antilopes, gnous, girafes, au ventre arrondi et toujours debout sur de petites pattes trapues-, elle les montre dès 2001 lors de la 4e Journée de la Céramique, place Saint-Sulpice, à Paris. Les expositions personnelles et collectives de Charlotte Poulsen vont se multiplier. Parmi les plus récentes, citons en 2016 « Charlotte Poulsen et Giogia Oldano » à la Galleria Losano, Pignerol (Italie), en 2015 « Pas Bête du Tout » au Pôle Européen de la Céramique de Fel (Aveyron), deux expositions aux Pays-Bas en 2013, la « Carte blanche à Charlotte Poulsen » au Centre Céramique Contemporaine La Borne en 2010. 

En 2013, il lui est passé commande d’une girafe monumentale, que Charlotte Poulsen  surnomme « Victorine », haute de 3,60 mètres et pesant une tonne. Réalisée en terre, montée en colombins, cette œuvre gracieuse et légère, dont elle a voulu, dit-elle, « que le cou tire le poids vers le haut », est installée en 2014 au Jardin des Oules (Gard). Cette pièce marque une étape majeure dans la recherche esthétique de Charlotte Poulsen. Originaire d’un plat pays marin, la girafe l’oblige en effet à affronter et s’approprier la verticalité, alors qu’elle avait jusqu’à présent privilégié l’horizontalité   et la mer. Depuis cette date, Charlotte Poulsen a ajouté un nouveau champ d’investigation à ses recherches, celui du monde aérien des oiseaux.

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« Si les corps et les membres restent volontairement statiques, la ligne courbe des silhouettes, leur cambrure, donnent aux pièces une élégance qui allège leur masse. Le modelage des fessiers est également travaillé avec précision dans le sens d’une rupture formelle qui donne un rythme à la symétrie du corps. Les têtes sont finement œuvrées. L’œil brillant, la torsion du cou, légère, et l’oreille aux aguets intensifient la présence de chaque animal ». Nicole CRESTOU, janvier 2004.

V – PRÉSENTATION DU MUSÉE SAINT-VIC

100 000 ans d’histoire locale

Musée Saint-Vic à Saint-Amand-Montrond - sculpture de François Cacheux copyright Yseult Carré
Musée Saint-Vic à Saint-Amand-Montrond – sculpture de François Cacheux © Yseult Carré

« Le musée Saint-Vic est un musée d’histoire régionale et d’art. De la préhistoire à l’art contemporain, les collections permanentes évoquent 100000 ans de présence humaine et de créations artistiques.

Le musée Saint-Vic est un musée d’histoire régionale et d’art, de la Préhistoire à l’art contemporain. Les collections permanentes, réparties dans six salles, sont toutes liées au Saint-Amandois et se présentent dans l’ordre chronologique, des origines de l’homme à nos jours. La tête d’enfant découverte à Drevant renvoie au site gallo-romain situé à quelques kilomètres seulement de Saint-Amand-Montrond. Le buste du Grand Condé est une pièce remarquable qui incite le visiteur à approfondir ses connaissances en se rendant à la forteresse de Montrond. L’arbre à sabots de Louis Touzet est un chef d’oeuvre de l’art populaire, pour ne citer que quelques oeuvres majeures.

Historique

Histoire du musée et du bâtiment

Construit au XIIIe siècle, cet hôtel particulier était la résidence des abbés commendataires de l’abbaye de Noirlac. Le nom de Saint-Vic est donné en référence à Saint Guy. Au cours du XVIIe siècle, il est transformé en couvent jusqu’à la révolution où l’État y installa la prison. La prison est fermée entre 1934 et 1938.

Histoire et constitution des collections

Un premier musée voit le jour au sein de la mairie. Il a été dans un premier temps uniquement composé des archives de la ville et cela vers 1830, puis créé suite au don de Monsieur Xavier Auclair vers 1880, ouvert uniquement sur demande, le tout dans une armoire de la Mairie. En 1916, une salle de la Mairie lui est entièrement dévolue à l’initiative de Monsieur Chavaillon, mais aussi de Messieurs Malard et Laguérenne. En 1922, un inventaire officiel de la collection Auclair est rédigé.

Il faut attendre 1940 pour que la municipalité transfert le Musée dans l’hôtel Saint-Vic, après suppression de la prison. L’inauguration a lieu en juin 1940. Le Musée s’installe au rez-de-chaussée, l’École de dessin est alors au premier étage. Il faut attendre les années 70 pour que le musée dispose de la totalité du bâtiment. »

Extrait de LES MUSÉES EN RÉGION CENTRE

VI – PRATIQUE 

EXPOSITION D’ART ANIMALIER – MUSÉE SAINT-VIC
Du 1er juillet au 23 septembre 2018

HORAIRES

  • Du mercredi au dimanche
  • De 10 h à 12 h et de 14 h à 18 h le mercredi, jeudi et vendredi
  • De 14 h à 18 h, le samedi et le dimanche

ENTRÉE LIBRE

ACCÈS
MUSÉE SAINT-VIC
Cours Manuel
18200 Saint-Amand-Montrond

RENSEIGNEMENTS 02 48 96 55 20
Courriel : musee.saint.vic@ville-saint-amand-montrond.fr

ANIMATIONS PÉDAGOGIQUES

Mon plus bel animal
Animation pour les 2-5 ans (accompagné d’un adulte), les mercredis 18 juillet et 1er août ; tarif : 6 €

Le Petit artiste animalier

  • Animations pour les 6-12 ans, les mercredis 18 juillet et 1er août
  • tarif : 6 €

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